L'Express avec L'Expansion
Moins mutine que la Classe A, la Classe B offre tout l'aspect statutaire de l'achat d'une Mercedes. Monospace dans l'âme pour l'habitabilité, la haute position de conduite, l'accessibilité grâce à des portières s'ouvrant largement et la " vie à bord ", elle est mâtinée de l'esprit des station wagons aux lignes allégées, comme l'est la conduite. Cela donne une berline dans laquelle on grimpe avant de s'installer dans des sièges confortables (même si leur réglage manuel déçoit) et que l'on conduit comme telle en ville. fenêtres basses, toit transparent, large pare brise donnent à respirer. Il y a l'ampleur, sans l'encombrement.
Sollicitée pour les grandes manoeuvres familiales, la B répond présente. Pour les déménagements, elle offre un volume de plus de 2 200 litres. Une astuce : la possibilité de relever le plancher du coffre de quelques centimètres pour, une fois les sièges rabattus, disposer d'une belle capacité de transport, avec 2,95 mètres de longueur maximale. sac tod's Le tout est simple d'usage. Pour les conduites aux entraînements de rugby ou les retours d'équitation, il y a de quoi loger passagers et sacs de sport. chaussures hommes grandes tailles Avec en prime ce gadget qui signale sur le tableau de bord que tout le monde est attaché à l'arrière.
A l'heure de l'envolée du cours du baril, la motorisation 180 CDI donne toute satisfaction, avec les 100 kilomètres heure atteints en 11,3 secondes et une vitesse de pointe suffisante pour gérer son capital points permis au plus serré. On peut aussi solliciter la boîte mécanique à six rapports pour profiter de la tenue de route. Malgré ces fantaisies, la consommation reste modeste (environ 7 litres). En revanche, alors que l'équipement général est satisfaisant, le design clair et les matériaux de qualité, le diesel est bruyant, à l'arrêt et en accélération.
