Bijoux artisanaux
En explorant sur la toile, j'ai découvert que les bracelets de noeuds n'avait pas pour seul origine l'Amérique latine. En fait le concept du tissage par le noeud, dit macramé, a été imaginé par
les turques il y a de cela bien longtemps, et vient du mot "migramah" qui signifie: frange. Il s'agit de réaliser des motifs en nouant de la ficelle. Aujourd'hui, le macramé est remit au gout du
jour, on le retrouve pour des sacs à main, des napperons, des bijoux. Pour rendre le travail encore plus subtil, il est courant d'y ajouter des perles surtout pour les bijoux. De mon côté, tout
en gardant ma manie des bracelets, j'ai commencé cet ouvrage, qui utilise la technique du bracelet brésilien mais la réalisation se fait à l'envers (sur la photo on voit le bracelet du côté
opposé au côté de réalisation)
Comme son nom l'évoque, l'art du kumihimo nous vient du pays du soleil levant. sac bandoulière femme soldes Cet art ancestral est en fait l'art de réaliser des cordons, il était de coutume que les habits, kimonos et
armures soient noués avec de jolis cordons en fils de satin. Aujourd'hui, cet art à été mis au gout du jour et on trouve des ouvrages en coton, cuir et fils métalliques. Le lien avec les
bracelets brésiliens est mince mais en fait, en utilisant des fils de cotons, on obtiens de jolis cordons qui font de trés beaux bracelets aux couleurs vives. J'ai eu bien du mal à trouver des
informations sur la technique de base du kumihimo. vente chaussures Mais j'ai quand même pu glaner au fil des blogs quelques infos. Pour pouvoir réaliser ces ouvrages, il est necessaire de se procurer (ou de se
fabriquer) un mobidai, sorte de metier à tisser qui ressemble plus à un patron. Pour faire les modèles les plus simples, le mobidai est rond et comporte une douzaine d'encoches qui permettent d'y
glisser les fils au fur et à mesure du tissage du cordon. Il existe plus de 3000 façons de tisser un kumihimo. J'ai quand même pu réaliser un premier ouvrage multicolore dont je suis assez fière
