Briller dans les coupes
Les dix chanceux partagent leurs souvenirs br Dix membres du Club ont eu la chance de vivre une Coupe du Monde de la FIFA en exclusivit vol, h et billets pour les matches compris.
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Il n'oublie pas pour autant qu'il n'est pas le seul acteur du succès de son club. Celui ci occupe actuellement la neuvième place du classement de Bundesliga et est encore présent sur trois tableaux (championnat, Coupe d'Allemagne et Coupe de l'UEFA). "Grâce aux nouvelles recrues comme Andrea Barzagli, Zvjezdan Misimovic ou Cristian Zaccardo, notre équipe est devenue encore plus forte. Je suis convaincu que nous pouvons réitérer nos performances de l'année dernière et être de nouveau présents sur la scène internationale la saison prochaine", déclare l'attaquant.
Je n que de bons souvenirs de mon enfance. J très heureux,
j une famille formidable et beaucoup de copains. J heureux
quand je jouais au foot, à l et avec mes amis
Grafite, attaquant brésilien de Wolfsburg
Mais ce père d petite fille n pas toujours eu la vie facile. Le numéro 23 de Wolfsburg a grandi à So Paulo. "Je n que de bons souvenirs de mon enfance. achat chaussure en ligne J très heureux, j une famille formidable et beaucoup de copains.
Même si le football a toujours eu la priorité pour Grafite, il fut un temps où il faisait tout autre chose pour gagner de l'argent pour sa jeune famille. "Vous parlez de l'époque où je vendais des sacs poubelle ?, demande t il sans hésiter. a n'a rien d'inhabituel, c'est encore courant là bas de faire du porte à porte pour vendre des sacs poubelle. C'était pour moi une opportunité comme une autre, il fallait que je gagne de l'argent. J'ai beaucoup appris pendant cette période, elle m'a enseigné plein de choses positives".
C'est peut être pour cette raison et à force de persévérance que l'ancien vendeur de sacs poubelle Edinaldo est devenu le footballeur professionnel Grafite. Son surnom suffit pour deviner qu'on ne lui a pas fait de cadeau. "Ce nom, qui désigne la mine d'un crayon, c'est un de mes anciens entraîneurs qui me l'a donné. Il avait eu avant moi un joueur qui s'appelait lui aussi Grafite et qui me ressemblait beaucoup. En plus, ce surnom me correspondait bien physiquement", déclare l'attaquant d'1m89 et de presque 90 kilos.
On peut néanmoins se demander, au vu de ces chiffres, si Grafite est toujours le surnom qui convient. Quoi qu'il en soit, ce sobriquet n'a pas empêché ce sympathique père de famille est devenu célèbre. Il a signé en 2001 son premier contrat professionnel avec le Santa Cruz FC. Il a ensuite évolué au Grêmio Porto Alegre, au FC Séoul (République de Corée) et à Gois EC, avant de rejoindre en 2003 le FC So Paulo et de revenir ainsi dans sa ville d'origine.
Grafite a joué pendant trois ans sous le maillot de So Paulo. Ses plus grandes victoires, c'est avec ce club qu'il les a remportées : la Copa Libertadores et la Coupe du Monde des Clubs de la FIFA, en 2005. Il prend aujourd'hui plaisir à se rappeler cette époque : "J'ai vécu de très bons moments. So Paulo est le club qui m'a fait connaître, avec lequel j'ai décroché des titres, et c'est aussi à cette époque que j'ai été appelé en équipe nationale. C'est là bas que j'aimerais rejouer, si je devais un jour retourner au Brésil".
Nous voulons jouer à fond sur tous les tableaux. La priorité, c'est le
championnat, mais nous comptons aussi aller en finale de la Coupe
d'Allemagne et de la Coupe de l'UEFA
Wolfsburg, un club qui ne manque pas d'ambitions
Il n'était cependant pas question pour lui de rester en Amérique du Sud. Grafite est donc arrivé en Europe en début d'année 2006. Le joueur alors âgé de 27 ans a signé un contrat avec Le Mans. Il y a marqué 17 buts en 52 matches de Ligue 1.
Une saison et demi plus tard, il quittait la France pour l'Allemagne : les talents de buteur de l'attaquant brésilien n'avaient pas échappé aux recruteurs du VfL Wolfsburg. Grafite a accepté la proposition, ce qu'il justifie aujourd'hui ainsi : "Sur le plan relationnel, ça se passait beaucoup mieux avec Wolfsburg qu'avec les clubs français qui me faisaient des offres. Je voulais absolument venir en Allemagne, de toute façon. Les conditions de travail sont bien meilleures ici et, en Bundesliga, le titre est beaucoup plus disputé qu'en France. sac à main mode C'était suffisant pour justifier un transfert".
